Catégories : Femmes fessées Hommes fessés
Ce récit est la suite de : Accréditation fessée 7
il y a 4 ans
16h.Les trois copines rentrent de leur balade à cheval folles de joie. Elles plaisantent entre elles, de bonne humeur en raccompagnant les juments à leur box. Charlotte s’adresse à Inga qui la dépasse de deux têtes.
« Tu vas trop vite au galop, on a du mal à te suivre. En plus, tu as sauté la rivière et nous on est tombé. Quelle crise de rire les filles »
« Oh tu sais j’ai l’habitude je monte depuis que j’ai six ans, j’en ai fait des concours hippiques, j’en ai gagné deux en junior »
« Trop bien, la classe »
Elles arrivent devant la maison, tante Magda les accueille les bras ouverts.
« Alors les filles, c’était bien votre balade à cheval ? »
« Oh oui super tante Magda, on s’est éclatée »
« Tant mieux, allez-vous changer, vous êtes toutes crottées surtout toi Charlotte. Je vous rejoins dans votre chambre »
Les trois filles montent dans leur chambre, immense dortoir. En arrivant elles voient le tas de sous-vêtements empilé sur leurs deux lits. Elles voient le mot posé et elles ne comprennent pas. Tante Magda arrive avec un air sévère.
« Vous vous croyez ou à une soirée striptease ? Ce n’est pas convenable vos dessous affriolants. Je ne tolère pas ce genre de dessous chez moi. Vous allez me les jeter dans le sac jaune posé au pied de votre lit »
« Mais madame, vous ne pouvez pas, ce sont nos affai… » Une gifle claque la joue de Mao
« Tu en veux une autre, on dit tante Magda, un peu de respect jeune-fille, tu dépasses les limites. Je vais devoir me fâcher »
« Mais tante Magda, arrêtez, on fait ce qu’on veut » une autre paire de claque atterrie sur la joue de Charlotte
« Pas chez moi. Je ne tolère pas de genre de dessous. Tiens je vous ai posé un soutien-gorge et une culotte en coton blanche. Changez vos dessous avec ceux-là, ils sont plus convenables pour des filles de bonne famille. Une fois changé, vous pouvez remettre ces jodhpurs propres, les votre sont tout sales. Je reviens dans dix minutes et nous aurons une sérieuse conversation toutes les trois. Inga tu n’es pas concernée va lire dans ta chambre ou dans le salon pour te détendre. »
Charlotte et Mao s’exécutent et se changent en vitesse craignant la sévérité de tante Magda. Elle revient dix minutes plus tard accompagnée de miss Stick et Miss Crumble qui brandissent chacune un martinet en bois à 9 lanières. A la vue de l’instrument, les deux copines palissent et jette un regard implorant vers tante Magda. La vue du martinet leur fait prendre conscience de leur état de régression au stade de petite fille et du risque de punition très cuisante comme au temps de leurs grands-parents qui étaient parfois châtié avec le terrible instrument. Mao et Charlotte ne pensaient pas qu’on pouvait encore l’utiliser de nos jours, quelle terrible découverte.
« Je vous avais prévenu les filles que je me fâcherai si vous ne respectiez pas les règles de ma maison. Tant pis pour vous. Je vais devoir vous punir pour que vous appreniez à être plus convenable »
« Approche Mao, tu seras la première »
« La première pour quoi tante Magda ? » (Air apeuré)
« La fessée ma petite chérie. C’est la punition des e n f a n t s. Vient devant moi que je te déculotte proprement »
Mao s’avance et tante Magda lui baisse rapidement le pantalon révélant la petite culotte blanche prêtée par tante Magda.
« C’est bien pratique pour déculotter les jodhpurs, en deux secondes j’ai accès à ta culotte. Penches toi en travers de mes cuisses ma petite Mao, c’est la position adéquate pour recevoir une bonne fessée ! »
La pauvre Mao se retrouve maintenu par le bras collé aux cuisses de tante Magda qui lui donne quelques claques sur la culotte.
« Aie, aie, aie, stop vous me faites mal »
« Pas un mot Mao ou je double la correction. Arrête de gesticuler ou je te promets que cela sera terrible pour tes fesses »
Tante Magda lui baisse la culotte, apparaissent deux belles fesses en forme d’amande légèrement rougies. La pauvre Mao est toute honteuse de se retrouver dans cette position qui la ramène au statut de petite fille.
« Tu as vu la fessée que j’ai donné à Inga tout à l’heure donc tu sais parfaitement ce qui t’attend, une bonne fessée déculottée comme ta maman devrait te la donner à chaque fois que tu n’es pas sage mon e n f a n t »
Et la raclée commence, terrible volée, une main très énergique claque ses fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. Tante Magda a décidé de donner à Mao une première fessée retentissante C’est très douloureux. Elle fesse avec beaucoup d’énergie, de vitesse et d’endurance. Les premières larmes coulent sur les joues de la pauvre mao qui bat des jambes, supplie, et demande pardon. Clac, clac, clac, pan, pan, clac
16h20.
J’arrive dans la belle propriété normande avec Miss Jane en me frottant le postérieur toujours chaud après la fessée autoroutière reçue. Au moment de passer dans le salon, j’entends le bruit caractéristique d’une main qui claque et d’un derrière qui reçoit. Je ne suis pas si étonné, ici je sais qu’on donne souvent la fessée. J’en ai reçu de nombreuses lors de mon premier week-end. Miss Jane me demande de monter dans la grande chambre que je connais bien pour saluer tante Magda. Je ne suis pas rassuré.
Le bruit de la fessée, je le connais et je ne veux pas m’en prendre une. Miss Jane insiste en me claquant le postérieur. Je préfère ne pas lui désobéir et je monte à l’étage. En rentrant dans le dortoir, j’assiste à la fin de la fessée d’une belle jeune fille prénommée Mao allongée fesses nues sur les genoux de Tante Magda. Tante Magda continue sa fessée, elle ne veut rien savoir, ni entendre. Mao reçoit une grosse correction. Sa fessée fait vraiment mal. Elle n’a jamais reçu de telle volée. Pour finir, Tante Magda demande à Mao de compter les 20 dernières claques qui font encore plus mal que les précédentes. La fessée se termine, elle la remet debout. Mao montre à tout le monde ses fesses rouges vives. Elle pleure dans son coin en punition.
« A ton tour Charlotte, approche, même punition que pour Mao, une bonne fessée de recadrage parentale !»
« Oh non tante Magda, s’il vous plait, je promets d’obéir »
« Oh ma petite, tu obéiras encore mieux quand je t’aurai donnée ta fessée, viens ici en vitesse. Si je vais te chercher je double la correction »
Bien sûr vous vous doutez que Tante Magda a rapidement couchée la petite Charlotte sur ses genoux et lui a baissé la culotte dans la foulée. La pauvre sautillait à chaque claque donnée par tante Magda. Elle lui a flanqué une terrible fessée. La même que celle de Mao. Copine de fessées elles sont devenus. Mao posté au coin dans la chambre a assisté à la sévère correction de son amie. Elle est impressionné par la différence de taille entre tante Magda et la pauvre Charlotte qui, les fesses bien rouges, reçoit de terribles claques sur les deux fesses en même temps tant celles-ci sont petites en comparaison des longues mains de tante Magda. Une fessée parentale donnée à deux vilaines petites filles. Je suis spectateur bien involontaire de cette double fessée et je n’en même pas large car je connais la sévérité de tante Magda.
« Bonjour Vincent »
« Bonjour tante Magda »
« Miss Jane, vous tombez bien, ces deux petites ont besoin d’une bonne dose de martinet familial. Rougissez-moi bien ces deux postérieurs qui ne connaissent pas encore l’instrument de correction »
Miss Jane a l’habitude de sévir. Tour à tour Mao et Charlotte se font zébrer les fesses par le redoutable martinet. 40 coups sont donnés à chacune des punies debout dans le coin fesses rouges qui pleure comme des e n f a n t s. Miss Jane se permet même d’en rajouter.
« Plus tendues les fesses, jeunes filles que je vous fesse correctement »
16h45. Les deux pauvres petites sont étendues sur leur lit massant leurs fessiers rougi et zébré. Jamais elles n’ont reçu une telle correction. Elles comprennent qu’elles doivent être sages sinon la fessée risque de tomber. 17h, nous sommes dans la cuisine pour prendre un gouter composé de viennoiseries et de chocolat chaud. Nous finissons de manger et nous nous rendons dans le salon ou Tante Magda a sorti des boites de jeux de société et de cartes. Nous profitons de ce temps calme pour nous détendre en jouant au tarot et à la belotte.
18h30 l’heure de la toilette. Je redoute ce moment car nous sommes intégralement pris en charge comme des petits par Miss Stick et Miss Jane qui prennent soin de nous déshabiller entièrement. Miss Jane s’occupe d’Inga et Mao et Miss Stick de Charlotte et moi. Chacun notre tour, nous sommes savonnés, frottés et rincé sous la douche. Il s’agit de ne pas oublier le moindre recoin. Douche fini, les deux miss nous conduisent dans le dortoir pour nous enfiler nos pyjamas. Miss Jane vient de finir de mettre le pyjama à Mao et Inga et s’occupe maintenant de moi pendant que miss Stick finit d’habiller Charlotte. Nous descendons dans le salon quand on sonne à la porte. Tante Magda ouvre la porte.
« Bonjour Madame Fronsac, bonjour jeune fille ? »
« Bonjour Madame, on vient pour le cours, nous ne sommes pas en retard »
« Non, je vous en prie, on vient juste de mettre les e n f a n t s en en pyjama »
Je me tourne vers Miss Jane
« Miss Jane, un cours de quoi ? »
« Un cours de fessée mon cher Vincent. Tante Magda apprend à Madame Fronsac à corriger. Elle est venue avec Blandine, la baby-sitter de ses e n f a n t s pour la punir pour ses négligences. Tu connais l’expertise de Tante Magda ça va chauffer »
« Miss Jane occupez de faire dîner les e n f a n t s j’ai un cours à donner »
Miss Jane se tourne vers nous quatre.
« Bien Tante Magda, les e n f a n t s il est l’heure de dîner. Venez en silence, je vous attends dans la cuisine. Ne m’obligez pas à me répéter sinon… »
Connaissant la sévérité de Miss Jane, nous obéissons comme des e n f a n t s bien sages. Pendant que nous nous mettons à table en silence, tante Magda invite ses invités à monter dans sa chambre. Elle ferme la porte.
18h45 Dans la chambre de tante Magda. Tante Magda est assise sur le lit, elle a relevé sa jupe pour bien dégager ses belles cuisses. Madame Fronsac se tient debout en tenant la jeune Blandine par le bras. Blandine est une petite rousse toute menue (1,54m 48 kg) de 22 ans. Sans connaitre son âge on pourrait la prendre pour une ado. Tante Magda a longtemps sermonné Blandine. La grondant comme une e n f a n t . Blandine a honte et Madame Fronsac écoute avec attention les conseils de tante Magda. Fini les sermons, c’est l’heure de punir.
« Viens devant moi ma petite Blandine »
« Oh Non…. je vous en prie Madame… je ne veux pas être punie » (en implorant)
« Oh si Blandine, tu mérites une bonne fessée pour avoir mal surveillé les e n f a n t s de Madame Fronsac. »
« S’il vous plait Madame, non, je promets de ne plus recommencer… »
« Voyez Madame Fronsac, il faut constater la faute et la fessée doit être immédiate quels que soient le lieu et les personnes présentes. C’est impératif, il ne faut jamais céder et ne pas différer la correction. Ainsi, la punie comprend que la correction est inévitable. L’annonce de la correction est la première étape d’une séance fessée. C’est primordial qu’elle fasse peur à Blandine. Voyez, elle est déjà beaucoup plus obéissante. »
« Mais si elle ne veut pas venir Madame ? »
« Vous lui dites que dans ce cas vous doublez la correction, je vous assure qu’elle se laissera faire »
« Approche mon e n f a n t que je montre à Madame comment on doit corriger les petites ingénues »
Blandine n’a pas d’autre choix que d’obéir et elle s’avance timidement vers Tante Magda. Elle est bien positionnée debout devant Tante Magda qui d’un geste assuré allonge la pauvre Blandine en travers de ses cuisses.
« Voyez Madame Fronsac c’est la position idéale pour donner une bonne fessée, allongée sur mes genoux. Cela rappelle les bonnes corrections qu’une maman donne à sa vilaine fille, n’est-ce pas mon e n f a n t ? »
« Oui tante Magda »
« Vous devez bien appuyer la punie, le ventre bien calé sur le lit. L’idéal pour le confort c’est de mettre un petit cousin sous la petite pour surélever légèrement les fesses. Les fesses doivent être bien relâchées. Je vous conseille de bien coller le ventre contre votre flanc, on doit sentir la proximité de la correctrice. Procéder par quelques claques rapides et légères sur la jupe, comme ceci clac, clac, clac, clac. Cela ne fait pas mal mais cela permet de mater tout de suite la tentative de rébellion. »
« Annoncer la faute et la fessée promise, la punie doit être avertie qu’elle va être corrigé. En cas de protestation donner quelques… clac, clac… claques… clac, clac … plus appuyées, clac, clac … comme… clac, clac, ceci……, clac, clac »
« Vous soulevez la jupe bien haut pour bien dégager la culotte et vous la fesser avec… des claques… plus fortes…. A ce moment, la punie… comprend ce qui… l’attend, n’est-ce pas Blandine ? »
La pauvre Blandine ne répond plus, elle a déjà mal aux fesses. Elle redoute le pire.
« Vient le moment du déculottage, c’est à vous de lui baisser la culotte. Cela montre que vous avez toute autorité pour punir et que Blandine se soumet à cette autorité. Vous devez la baisser en la retournant sous les fesses. Cela permet de vérifier la propreté de celle-ci. On est souvent surpris de découvrir que la culotte n’est pas très propre. Il faut doublement sévir dans ce cas. Comme pour la première petite fessée, vous annoncer la fessée déculottée qui ramène immédiatement la punie au statut de petite fille pas sage. C’est un sentiment particulièrement honteux surtout conjugué au déculottage »
« Blandine, tu mérites une bonne fessées déculottée »
C’est maintenant que vous devez vraiment sévir car la fessée c’est fait pour faire mal, c’est une correction qui doit être donnée avec beaucoup de méthode. Il faut conjuguer vitesse, f o r c e et précision, cela demande de l’entraînement mais en pratiquant souvent on y arrive facilement. Je vais vous montrer… »
Tante Magda lève la main bien haut et l’abat à toute vitesse sur les petites fesses de Blandine. Elle commencer à distribuer les claques sur les fesses de la pauvre e n f a n t . Cinq à gauche, cinq à droite puis alternativement une vingtaine sur chaque fesse. Blandine est déjà en pleurs. La pauvre baby-sitter se prend une fessée déculottée méthodique et sévère. Tante Magda y met toute son énergie et son savoir-faire. Elle fesse, fesse et re fesse de plus en plus fort, de plus en plus vite. Les fesses de la pauvre Blandine sont déjà rouge carmin, ça la brûle, elle sursaute à chaque claque donnée. La fessée dure dix minutes, Blandine a reçue plus de 200 claques. Elle pleure à chaude larme tapant des pieds sur le lit.
« Voilà comment il faut donner la fessée, n’oubliez pas de la gronder pendant les claques. Cela rajoute la honte à la cuisson du fessier. Ne vous arrêter pas aux premiers pleurs ou aux premières rougeurs, il faut fesser longtemps sinon ce n’est pas efficace »
La correction de Blandine est finie. Madame de Fronsac est impressionnée par le résultat. Des fesses toutes rouges et une Blandine matée.
« Et si elle bouge Madame pendant la fessée ? »
« Cela arrive souvent, dans ce cas, vous changez de position. En travers de la cuisse gauche, vous lui maintenez le bras droit avec la main gauche et vous emprisonnez ses cuisses avec votre jambe droite. Dans cette position, la fessée est donnée à pleine vitesse sans que la punie ne puisse bouger. Regardez une petite démonstration »
Tante Magda s’exécute et la deuxième fessée est encore plus forte et cuisante. Blandine pousse des « aie, aie, aie, stop, j’ai mal ». La fessée finie vous conduisez la punie au coin, main sur la tête, culotte baissée pour réfléchir à sa bêtise. Ce temps de pause de quelques minutes est le bienvenu pour reposer votre main et pour que la punie sente bien la cuisson sur ses fesses. »
Joignant le geste à la parole, elle relève Blandine et la conduit avec fermeté dans le coin de la chambre.
« Observez son attitude pendant qu’elle est au coin. Si elle bouge ou se plaint vous pouvez lui donner une autre fessée debout. A la fin il faut la consoler par un gros câlin durant lequel la punie vous demande pardon. La faute est alors oubliée »
« Rappelez-vous, la fessée a deux buts : corriger et améliorer. Voilà la leçon est terminée, la petite Blandine a pris sa bonne fessée, elle va réfléchir à deux fois la prochaine fois n’est-ce pas mon e n f a n t ? »
« Oh oui Madame » (en pleurant à chaudes larmes)
« Je vous remercie Madame pour vos bons conseils »
« Je compte sur vous pour sévir. Si vous n’y arriver pas, je viendrais vous aider mais dans ce cas Blandine ne sera pas la seule à recevoir une correction. Je vous fesserai de la même manière pour vous apprendre. C’est bien compris »
Madame Fronsac pique un fard.
« Oh oui Tante Magda »
« Bonne soirée et tenez moi au courant. »
Tante Magda raccompagne les visiteurs à la porte. La pauvre Blandine se masse les fesses regardant ses chaussures.
Quatre jeunes adultes réduits au statut d’e n f a n t s bien sages dans leur pyjama ajusté sont en train de finir leur diner. Tante Magda nous rejoins à table ; sa seule présence est si intimidante que personne n’ose parler. Miss Crumble a préparé un bon gigot d’agneau avec des pommes de terre et des lardons. Tante Magda revient sur les divers épisodes de la journée en précisant que l’on ferait un point précis lors du conseil familial prévu avant de dormir. Conseil familial, je frémis devant ce mot, je me souviens des précédents épisodes marquants pour mon postérieur. Qui dit conseil familial dit reproches et explications et surement punition des e n f a n t s.
20h, tante Magda nous propose de projeter un film sur le grand écran du home-cinéma. Enfin un peu de détente nous fera du bien après cette journée riche en émotion. Nous sommes confortablement installés tous les quatre dans le canapé. Tante Magda nous lance le film « La guerre des boutons » encore un film dans la thématique du week-end avec une scène ou de bonne fessées sont données à des petits garçons polissons. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec tante Magda qui sait sévir et punir les mauvais comportements. J’aurai préféré un autre film mais je n’ose en parler à tante Magda.
22h, heure du conseil de famille. Nous avons regagné le dortoir. Nous sommes alignés bien sagement devant nos lits respectifs devant Tante Magda, Miss Jane et Miss Crumble. Tante Magda prend la parole.
« Mes chers e n f a n t s, c’est l’heure du conseil familial, moment propice à passer en revue la journée et de revenir sur les divers incidents. Dans l’ensemble, vous n’avez pas été bien sages, c’est un euphémisme et j’ai dû vous flanquer quelques bonnes fessées pour sanctionner vos mauvais agissements. J’ai pour habitude de doubler la correction reçue dans la journée au moment d’aller dormir. A l’appel de votre prénom, vous devez vous présenter en vitesse devant moi afin que je fasse le point. Je ne vais pas crier, ni élever la voix, je compte sur votre entière obéissance, tout retard sera doublement sanctionné »
« Magda, ma fille chérie, tu es la première »
La belle Magda s’avance devant sa mère.
« Ma chère fille, si l’on fait le bilan de la journée, tu as reçu une fessée de maman. Tu vas donc recevoir une fessée supplémentaire de Miss Crumble et 20 coups de martinet avant d’aller dormir. Au suivant… »
« Mon cher Vincent, tu as reçu une fessée de ta chère Marie, mais elle compte double. Voyons cela donne une double fessée de la part de Miss Crumble et moi-même et 30 coups de martinet. Au suivant… »
Et ainsi de suite à tour de rôle défilent les autres e n f a n t s. Tante Magda annonce les fessées respectives de Mao et de Charlotte.
Il est temps pour les dames de corriger les jeunes adultes comme des petits e n f a n t s. Nous sommes debout alignés face au mur, nous tournons tous les quatre le dos à tante Magda et aux deux miss. Miss Crumble, nous baisse à tour de rôle en le retournant au niveau des mollets, notre bas de pyjama. Apparaissent quatre paires de fesses bien blanches. Se faire déculotter c’est assez honteux mais le fait de voir mes camarades se faire baisser la culotte de pyjama provoque en moi un sentiment très fort. Nous sommes tous des sales gosses attendant une bonne correction parentale.
« Miss Crumble et Miss Jane, je compte sur vous pour sévir, ils méritent tous les quatre de bonnes fessées »
Tante Magda s’assoie sur une chaise, en face de nous pendant que Miss Crumble couche Inga sur ses genoux. Sur un autre lit, Miss Jane a couché la petite Charlotte en travers de ses cuisses. A ce moment je détaille la tenue des deux miss qui portent un survêt serré en coton gris, des soutien-gorge de sport sous une robe de chambre en laine légère. Impossible de ne pas apercevoir la jolie poitrine de Miss Jane et les très gros seins de la charpentée Miss Crumble. Cela provoque quelques raideurs chez moi.
Elles commencent leur fessée. J’entends le bruit de leurs mains qui claquent des fesses. Inga et Charlotte trépignent et encaissent les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrêtera, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elles fessent pendant de longues minutes. Cette fessée avant d’aller dormir est très cuisante. Je confirme que les deux Miss sont de sacrées fesseuses, elles grondent les deux filles en leur filant leur raclée. La fessée se termine pas 40 grosses claques pour lesquelles elles demandent de compter. Les deux filles sont conduites au coin fesses nues pour faire pénitence. Cela va être mon tour. Je ne me fais pas d’illusion sur le moment qui m’attend. Miss Crumble me fait signe d’approcher.
« A ton tour mon petit Vincent »
Pendant que je m’exécute j’entends Miss Jane qui appelle à son tour Mao. Je n’ai qu’une hâte, que la correction se termine. Miss Crumble me saisit par le bras debout et avec beaucoup de fermeté elle m’allonge en travers de ses larges cuisses et me baisse le bas de pyjama aux pieds.
Mes fesses sont à la portée de la terrible Miss Crumble. J’ai déjà été punie par elle et je redoute particulièrement ses claques. Ses mains sont larges comme des battoirs, ses bras musclés et elle fesse très fort. J’attends tout fébrile la première claque annonçant la sévère correction. J’observe la petite Mao dans la même position, allongé sur les genoux de Miss Jane. La pauvre jeune fille se souvient bien de la cinglante reçue par tante Magda cet après-midi et ne cache pas son angoisse. Les Deux Miss se regardent et se font un signe. Que la fessée commence.
Et quelle fessée, une fessée longue, appuyée sur des fesses bien rouges. La fessée a durée dix minutes, je n’ai pas compté les claques mais j’ai très mal aux fesses. Je rejoins mes trois camarades au coin en punition mains sur la tête, bien collé au mur.
Nous devons méditer en silence et subir un sermon des deux jeunes femmes. Nous devons présenter des excuses pour toutes les fautes commises pendant la journée. Pendant que nous sommes debout au coin, tour à tour tante Magda nous donne à chacun les 40 coups de martinet prévus. Une fessée avec le terrible instrument qui, à chaque cinglée, vous zèbre le postérieur. Fessée promise, fessée due, ma deuxième fessée je l’ai prise allongé en travers du lit par une tante Magda très méthodique. La correction finie, nous sommes autorisés à nous reculotter en massant nos fessiers endoloris assis bien sagement sur nos lits. Nous avons les joues bien rouges d’avoir tant pleurés comme des petits e n f a n t s.
Quelles corrections nous avons reçue. Plus d’une dizaine de fessées distribuées sans compter les coups de martinet qui cingle le postérieur. Tante Magda et Miss Jane nous prennent tour à tour dans leurs bras pour nous consoler. J’avoue que ce moment est bien réconfortant après la double correction reçue.
« Mes chers e n f a n t s, Tante Magda vous aiment et c’est pour votre bien qu’elle doit se fâcher. Voilà c’est fini, oublié. Miss Jane et Miss Crumble, je vous charge de les langer »
Elle montre à Mao et Charlotte une couche en plastique de taille adulte. Les deux jeunes filles n’en croient pas leurs yeux.
Mao se montre la plus choquée.
« Mais Tante Magda, vous plaisantez, on ne va pas porter de couche » une double gifle lui cingle la joue.
« Ma petite Mao, tu te croies grande mais tu es infantile. Tu as reçu deux tannées, les fesses bien à l’air, comme une sale gamine. Cette régression s’accompagne souvent d’une prise en charge totale de ta toilette et une surveillance de ta propreté. Les toilettes sont en bas, le plancher grince et je ne veux pas d’aller et retour pendant la nuit pour aller faire pipi. Par conséquent, chaque petit pensionnaire doit porter une couche intégrale la nuit pour éviter de mouiller son lit. Tu verras ça comprime un peu mais c’est agréable et cela tiens bien chaud »
Mao baisse la tête honteuse. Elle se tourne vers nous. Nous lui faisons un signe de ne pas insister. C’est peine-perdue. Tante Magda poursuit sur un ton plus autoritaire.
« Ma petite Mao, je peux t’assurer d’une chose, c’est que tu vas mettre une couche. La question c’est avec ou sans fessée avant, à toi de voir mais je te conseille d’obéir. Miss Jane, à la moindre protestation vous lui claquer bien les fesses, c’est compris ? »
« Oui tante Magda »
Miss Jane et Miss Crumble ont disposé sur chaque lit une large bande de plastique imperméable, sorte d’alèse. Elles ont à la portée un chariot contenant couches, crème, savon, gant et lingettes. Tout ce qui faut pour changer de grands e n f a n t s. Miss Jane a disposé une large couche en plastique à motif e n f a n t in sur chaque lit. Miss Jane et Miss Crumble nous prennent en charge comme de petits e n f a n t s. Pas de résistance possible, sous peine de bonnes claques sur les fesses. Se prendre une fessée avant la mise en couche, ce n’est pas une bonne idée car les fesses rouges comprimées dans le plastique renf o r c e nt le côté cuisant de la correction.
Je suis allongé dos sur le lit, Miss Jane me soulève les jambes en me baissant le pyjama au niveau des genoux. Elle glisse le plastique sous mes fesses et rabat la couche qu’elle ferme avec les attaches en scratch. Miss Crumble a fait de même avec Inga. Miss Crumble prend la suite pour s’occuper de Charlotte pendant que Miss Jane termine avec Mao. 22h30, nous sommes tous les quatre en couche sous nos pyjamas serrés. Si la couche est confortable et enveloppante, elle est si épaisse que le pyjama a du mal à la recouvrir. Le sentiment de honte est partagé par nous tous. Hier, nous étions quatre jeunes adultes et ce soir je suis en couche sous mon pyjama d’e n f a n t , les fesses encore chaudes de mes fessées reçues. Quelle régression nous avons subie. Miss Jane ferme la séparation entre garçons et filles et nous dépose à chacun un baiser sur le front et nous fait un câlin qui réconforte après les terribles déculottées données.
« Bonne nuit les e n f a n t s, vous êtes fatigués après cette journée harassante. Je vous fais un câlin à chacun en vous bordant et je vous dis à demain »
« Bonne nuit Miss Jane » (en cœur)
Tante Magda revient dans la chambre pour un dernier avertissement
« Je ne veux pas d’aller et retour dans les couloirs. Vous dormez. Si j’attr a p e l’un de vous en dehors de son lit… il sera puni d’une raclée mémorable devant tout le monde au petit déjeuner. Les planchers grincent, j’entends tout de ma chambre donc ne jouez pas avec moi sinon c’est la grosse fessée. Demain réveil à 9 h et petit déjeuner à 9h15, nous vérifierons l’état de propreté de vos couches et gare à vous si elles sont mouillées ! Dormez bien »
Tante Magda s’approche de mon lit et me murmure à l’oreille « Et pas de zizi pan pan, Vincent, souviens toi la terrible correction que tu as reçue la dernière fois ».
Comment ne pas oublier la triple déculottée reçue pour voir tromper Marie avec Charlène. Résultat : deux fessées déculottées des plus cinglantes et une troisième donnée par ma copine dans la station-service. En me couchant, je me rappelle la première fois ou j’ai vu Inga. Mon s a n g n’a fait qu’un tour. J’ai été tout de suite sous le charme de cette grande blonde au corps de déesse. En plus, j’ai fait sa connaissance en pleine action. Elle me montrait ses belles fesses, ses longues jambes profilées allongée sur maman qui lui donnait la fessée. Alors quand la charmante Inga une fois les pensionnaires endormis, m’a chuchoté dans l’oreille qu’elle aimerait bien faire une balade nocturne avec moi, j’ai craqué et je lui ai dit oui. Nous avons pris toutes nos précautions pour faire le moindre bruit possible. Emportant sous le bras notre tenue de ville, nous avons descendu l’escalier marche par marche en pyjama et chaussettes jusqu’à la porte d’entrée. Inga m’a conduit dans la grange et je l’ai aidé à pousser la grosse moto japonaise sur le chemin jusqu’à l’entrée de la propriété. Nous nous sommes rapidement changés laissant cachés nos pyjamas sous les fourrés. Inga a démarré la moto de 1000 cm3 je suis monté à l’arrière. Elle est partie en trombe zigzagant dans les virages. Inga est un super pilote qui sait parfaitement maîtriser le bolide à deux roues. En à peine dix minutes, nous avons atteint le centre-ville de Honfleur. Nous nous sommes arrêtés à un bar pour prendre un verre. Inga s’est tout de suite montré amicale, multipliant les gestes de proximité avec moi. Nous avons échangé nos premiers baisers et premières caresses sensuelles sous la table à l’abri des regards discrets. J’étais en train d’embrasser la belle Inga quand je vois une grande dame blonde aux épaules carrées s’avançait vers notre table avec un air familier. Elle s’adresse à Inga qui la reconnaissant blêmit tout à coup.
« Inga c’est toi ma chérie, Que fais-tu ici avec ce charmant jeune homme ? »
Je me tourne vers Inga l’air interloqué
« C’est qui Inga ? »
« C’est ma tante Leen, la petite sœur de maman »
« Enchanté Jeune Homme je suis Leen la sœur de Magda »
« Bon…. soir Madame »
« Magda sait que vous êtes là ? »
« Oui, oui, nous avons la permission de minuit » (en mentant effrontément)
« Alors il ne faut pas tarder, il est 11h 45 les e n f a n t s. Je préviens ma sœur que vous êtes en route »
« Oh non ce n’est pas la peine tante Leen, tu vas la réveiller »
« Connaissant ma sœur, si vous êtes sortis, elle ne doit pas dormir elle se ferait trop de soucis.
Je vais l’appeler pour la rassurer et lui confirmer que je viens demain pour déjeuner »
Alors à ce moment je vois la pauvre Inga qui se tourne rouge de honte vers Leen pour lui avouer la vérité.
« Tante Leen, heu… en fait… heu… maman n’est pas au courant que nous sommes ici »
Tante Leen se tourne vers nous deux en nous invectivant
« Je m’en doutais, je connais ma sœur. Donc vous avez fait le mur. Aie, aie, aie ma petite Inga tu risque de regretter ton aventure en ville. Que va dire maman quand elle le saura ? »
« Oh non je t’en prie tante Leen ne lui dit pas »
Je vois Tante Leen qui n’écoute pas sa nièce et qui appelle avec son portable tante Magda.
Elle met le haut parler, on entend les bips bip bip sonore. Pas de réponse. Elle rappelle deux minutes plus tard.
« Bip, bip, bip, allo c’est toi Leen ? »
Je vous laisse imaginer la suite.....
Vincent
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